Et si la perte n'était pas ce que vous pensez ? 

Ce mois-ci, j’ai choisi d’explorer l’un des sujets les plus émotionnellement intenses : la perte et plus encore, la peur de perdre.
Pas seulement la perte d’une personne, mais aussi celle d’une situation, d’un rôle, d’un lien, ou d’un futur que nous avions imaginé.

Les capsules 25 et 26 de mon podcast "3 minutes pour tout changer" sont consacrées à ce sujet.
Voici quelques idées abordées : 

1. Et si la perte était une construction mentale ?

Parfois, ce que nous appelons “perte” est le fruit d’une comparaison : entre ce qui est, ce qui a été, ou ce que nous aurions voulu vivre.
Dans le moment présent, rien ne manque.
Le présent est toujours complet.
C’est une photographie : il n’existe que maintenant.

Cela ne veut pas dire que la douleur n’existe pas. Elle est bien réelle.
Mais en changeant notre manière de voir ce que nous appelons “perte”, quelque chose s’adoucit.

2. Quand nous avons peur de perdre, nous commençons déjà à perdre.

La peur nous coupe du moment présent, de ce qui est encore là, encore vivant, encore porteur de sens.
Elle projette un vide là où il y a encore de la présence.
Nous passons à côté de ce qui est, à force de vouloir retenir ce qui change.

3. Et si l’impermanence n’était pas une menace, mais un guide ?

Nous résistons souvent au changement, dans l’espoir que les choses restent telles qu’elles sont.
Mais l’impermanence nous rappelle d’apprécier ce qui est là, tant que c’est là.
Elle peut devenir un point d’appui. Un rappel à l’essentiel, à la présence, à la gratitude.

Changer de regard ne veut pas dire nier la réalité.
Mais cela peut nous éviter d’ajouter une seconde couche de souffrance — celle que nos pensées fabriquent.
Et parfois, cela suffit pour retrouver un peu de soulagement.

🎧 Mon podcast : deux épisodes à découvrir à partir du mardi 27 mai 2025

Capsule 25 : Faire la paix avec la perte – Ne plus avoir peur de perdre
Capsule 26 : Faire la paix avec la perte – Apprivoiser l’impermanence

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